September 04, 2024

Get Ready for the First-Ever CWF Great Canadian Bioblitz!




By Acacia Frempong-Menso



As the vibrant hues of summer begin to fade into the rich golds and reds of fall, nature enters a period of transition.


For many species, this is a time of migration or preparation for hibernation. What better time to immerse yourself in nature and contribute to the CWF Great Canadian Bioblitz?

Join the Great Canadian Bioblitz on iNaturalist!





From September 13 to 16, 2024, the Canadian Wildlife Federation (CWF) invites you to participate in the Great Canadian Bioblitz. This event is a perfect opportunity to explore your local environment, document the diverse species you encounter, and contribute valuable data to conservation efforts across Canada. But first, make sure you’ve joined the CWF Great Canadian Bioblitz project on iNaturalist—only observations made by project members will count!

For more information and resources on how to take part, head to GreatCanadianBioblitz.org.

Why Fall is the Perfect Time for a Bioblitz





Fall is a season of movement and change in the natural world. As temperatures drop and days shorten, many species begin their migration to warmer climates, while others prepare for the long winter ahead. This makes fall an exciting time to observe wildlife in action. Birds are on the move, heading south in flocks that can be seen in the sky or heard in the early morning hours. Mammals are busy gathering food, fattening up for hibernation, or seeking out cozy winter dens.

While trees may not yet be losing their leaves or turning colour during the Bioblitz, you’ll still be able to observe the subtle changes in your environment as plants and animals prepare for the coming season. By participating in the CWF Great Canadian Bioblitz, you'll have the chance to observe and document these seasonal behaviours, contributing to a greater understanding of how Canadian species respond to the changing environment.

How to Get Involved




  1. Join the Project: Visit the CWF Great Canadian Bioblitz project page on iNaturalist and click "Join" to be part of the Bioblitz.
  2. Sign Up for the Species Challenge Contest: When you sign up for the Bioblitz, you’ll gain access to additional resources that can help make it easier for you to record nature observations. Add your iNaturalist username, and you’ll be instantly entered into the CWF Great Canadian Bioblitz Species Challenge Contest. Record a minimum of 50 different species, and you’ll qualify for a chance to win great prizes, including CWF magazine subscriptions, backpacks, solar chargers, hiking headlamps, beverage holders, and more!
  3. Explore and Record Observations: From September 13 to 16, head outdoors—whether it's your backyard, a local park, or a nearby nature reserve—and start making observations. Use the iNaturalist app to snap photos of the plants, animals, and fungi you encounter. You can also use a digital camera and upload photos by signing into your account at iNaturalist.ca. Since you’ve already joined the Bioblitz project, your observations will automatically count toward the event.
  4. Identify Observations: After four days of exploration, it’s time to identify what was found. From September 17 to 22, help identify the species recorded during the Bioblitz. Whether you’re a species expert or simply knowledgeable about certain species, every ID helps confirm what species people actually observed.

Contribute to Conservation





By taking part in the CWF Great Canadian Bioblitz, you're not only enjoying the beauty of the changing seasons—you're also playing a crucial role in conservation. The data collected during the Bioblitz helps scientists monitor species populations, understand migration patterns, and identify areas that may need protection.

So, grab your camera and step into the crisp autumn air. Every observation you make during the CWF Great Canadian Bioblitz helps paint a picture of Canada's biodiversity. Happy exploring!

Préparez-vous pour le tout premier Grand bioblitz canadien de la FCF!

Par Acacia Frempong-Menso



Alors que les vives couleurs de l’été se fondent dans les teintes rouge et or de l’automne, la nature entre dans une période de transition.

Pour de nombreuses espèces, il s’agit d’une période de migration ou de préparation à l’hibernation. C’est le moment idéal pour vous immerger dans la nature et contribuer au Grand bioblitz canadien de la FCF.

Joignez-vous au Grand bioblitz canadien sur iNaturalist!


Du 13 au 16 septembre 2024, la Fédération canadienne de la faune (FCF) vous invite à participer au Grand bioblitz canadien. Cet événement est l’occasion rêvée d’explorer votre environnement local, de documenter les espèces que vous rencontrez et de contribuer par vos données précieuses aux efforts de conservation partout au Canada. Mais d’abord, assurez-vous de vous inscrire au projet Grand bioblitz canadien de la FCF sur iNaturalist – seules les observations faites par les membres du projet seront comptabilisées!

Pour plus d'informations et de ressources sur la façon de participer, rendez-vous sur Grandbioblitzcanadien.org.

Pourquoi l'automne est le moment idéal pour un bioblitz

L’automne est une saison de déplacements et de changements dans le monde naturel. À mesure que les températures baissent et que les jours raccourcissent, de nombreuses espèces entament leur migration vers des climats plus chauds, tandis que d’autres se préparent pour le long hiver à venir. L’automne est donc un moment passionnant pour observer la faune en action. Les oiseaux s’envolent et se dirigent vers le sud en formations visibles dans le ciel et audibles dès les premières heures du jour. Les mammifères rassemblent de la nourriture, font des réserves de graisse ou recherchent des tanières douillettes en vue de l’hibernation.

Même si les arbres ne perdent pas encore leurs feuilles ou ne changent pas de couleur en ce moment, vous pourrez quand même observer des changements subtils, alors que les plantes et les animaux se préparent pour le changement saisonnier. En participant au Grand bioblitz canadien de la FCF, vous aurez l’occasion d’observer et de documenter ces comportements saisonniers et de contribuer ainsi à une meilleure compréhension de la réaction des espèces du Canada à l’évolution de l’environnement.

Comment participer


  1. Joignez-vous au projet : Consultez la page du projet Grand bioblitz canadien sur iNaturalist, puis cliquez sur « Participer » pour vous inscrire.
  2. Inscrivez-vous au concours « Défi des espèces » : En vous inscrivant au bioblitz, vous obtenez l’accès à des ressources supplémentaires qui vous aident à consigner vos observations de la nature. Ajoutez votre nom d’utilisateur iNaturalist pour être automatiquement inscrit au concours « Défi des espèces » du Grand bioblitz canadien de la FCF. Consignez au moins 50 espèces et courez la chance de gagner de superbes prix, notamment des abonnements aux magazines de la FCF, des sacs à dos, des chargeurs solaires, des lampes frontales, des porte-gobelets et bien plus encore!
  3. Explorez et consignez vos observations : Du 13 au 16 septembre, sortez, que ce soit dans votre jardin, dans un parc ou dans une réserve naturelle de votre région, et consignez vos observations. Utilisez l'application iNaturalist pour prendre des photos des plantes, des animaux et des champignons que vous rencontrez. Vous pouvez également utiliser un appareil photo numérique et téléverser vos photos en vous connectant à votre compte iNaturalist.ca. Une fois que vous vous serez joint au projet Grand bioblitz, vos observations seront automatiquement comptabilisées dans le cadre l’événement.
  4. Identifiez les observations : Après quatre jours d’explorations, il est temps d’identifier nos découvertes. Du 17 au 22 septembre, contribuez à identifier les espèces recensées dans le cadre du bioblitz. Que vous soyez un expert ou un simple amateur, chaque identification contribue au recensement de la biodiversité.

Contribuez à la conservation :



En participant au Grand bioblitz canadien de la FCF, vous profitez non seulement de la beauté du changement des saisons, mais vous jouez également un rôle crucial dans le domaine de la conservation. Les données recueillies dans le cadre de ce bioblitz aident les scientifiques à effectuer le suivi des populations, à comprendre les schémas de migration et à identifier les zones nécessitant une protection.

Alors, munissez-vous de votre appareil photo et profitez de l’air frais de l’automne. Toutes les observations effectuées dans le cadre du Grand bioblitz canadien de la FCF contribuent à dresser un portrait de la biodiversité au Canada. Bonnes explorations!

Posted on September 04, 2024 06:34 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 0 comments | Leave a comment

July 26, 2024

International Monarch Monitoring Blitz







By Acacia Frempong-Manso



Get ready to make a difference for monarchs!

From July 26 to August 4, 2024, the 8th International Monarch Monitoring Blitz invites thousands of participants from Canada, Mexico, and the United States in a unified effort to support monarch butterfly conservation. This annual event is a great opportunity for nature enthusiasts, families, and citizen scientists to contribute to the preservation of a migratory species.

During this blitz, volunteers are encouraged to explore their local areas, looking for monarch butterflies and their habitats. By recording sightings of monarchs, milkweed plants, and signs of reproduction such as eggs, caterpillars, and chrysalids, you can provide valuable data to researchers. This collective effort helps scientists understand more about monarch populations and their needs, ultimately guiding conservation actions to protect monarchs.

This year, we're excited to share that the Canadian Wildlife Federation (CWF), which leads iNaturalist.ca as part of the worldwide iNaturalist data-sharing network, has joined the international partners in organizing and promoting the Monarch Blitz throughout North America. This partnership strengthens trinational efforts and amplifies the impact of data collected through community science initiatives.

To learn more about the initiative and monarch conservation, join our webinar happening August 1, 2024, at noon Eastern Time, or watch the recording afterwards. CWF and the Commission for Environmental Cooperation will shed light on this amazing tri-national species and what you can do to help save this endangered species.

Why Participate?


By participating in the Monarch Monitoring Blitz, you become part of a larger movement to protect an endangered species that is both ecologically significant and culturally symbolic. Monarch butterflies are renowned for their incredible migratory journey, spanning thousands of miles from Canada and the United States to Mexico. However, their populations are declining due to habitat loss, climate change, and pesticide use. Your observations can make a difference by providing essential data that informs conservation strategies and helps safeguard the future of these butterflies.

How to Get Involved



From July 26 to August 4, upload your monarch or milkweed observations using the iNaturalist app or at iNaturalist.ca and they’ll automatically be added to our iNaturalist Monarch Monitoring Blitz project. No need to add them to the project yourself as long as they’re uploaded to iNaturalist, but you can head there to check out your observations and others that are being added. Remember this includes all 13 species of milkweed found in Canada, and all life stages of Monarch.

For added value, once you’ve uploaded a Monarch observation, you can go back to it in the app or online and add a “life stage” using annotations to call it an adult, egg, larva or pupa (i.e. chrysalis/cocoon). This gives important extra information for researchers to make better use of your data.

You can also check out these other initiatives tracking monarchs during the blitz:

Take It a Step Further

For those living in Ontario and looking for an extra challenge, consider joining the iNaturalist project, "Monarch Migration in Ontario / Migration du Monarque en Ontario." This project invites users to track monarch sightings and Roosts (i.e. where Monarchs spend the night) to provide valuable data on migration patterns and habitat use. By contributing to this project, you can help enhance our understanding of monarch migration and support conservation efforts.

Be a part of this exciting and impactful event. Your participation in the International Monarch Monitoring Blitz can help ensure a brighter future for monarch butterflies. Let's make a difference together!

Blitz international de suivi du monarque

Par Acacia Frempong-Manso

Préparez-vous à faire une différence pour les monarques! Du 26 juillet au 4 août 2024, le 8e Blitz international de suivi du monarque invite des milliers de participants du Canada, du Mexique et des États-Unis à unir leur force pour soutenir la conservation de ce papillon. Cet événement annuel est une excellente occasion pour les passionnés de nature, les familles et les scientifiques citoyens de contribuer à la préservation d’une espèce migratoire.

Durant ce blitz, nous encourageons les bénévoles à explorer leurs environs à la recherche de monarques et de leurs habitats. En consignant des observations de monarques, d’asclépiades et de signes de reproduction comme des œufs, des chenilles et des chrysalides, vous pouvez fournir de précieuses données aux chercheurs. Cet effort collectif aide les scientifiques à en savoir plus au sujet des populations de monarques et de leurs besoins, guidant à terme les mesures de conservation pour protéger cette espèce.

Nous sommes enthousiastes d’annoncer que cette année, la Fédération canadienne de la faune (FCF), qui dirige iNaturalist.ca dans le cadre du réseau mondial de partage des données iNaturalist, s’est jointe aux partenaires internationaux pour organiser et promouvoir le Blitz de suivi du monarque à l’échelle de l’Amérique du Nord. Ce partenariat renforce les efforts déployés dans les trois pays et amplifie l’incidence des données recueillies dans le cadre d’initiatives de science communautaire.

Pour en savoir plus au sujet de l’initiative et de la conservation du monarque, participez à notre webinaire le 1er août 2024 à midi, heure de l’Est, ou visionnez son enregistrement après la présentation . La FCF et la Commission de coopération internationale feront la lumière sur l’incroyable monarque trinational et sur ce que nous pouvons faire pour sauver cette espèce en voie de disparition.

Pourquoi participer?

En participant au Blitz international de suivi du monarque, vous prenez part à un mouvement plus vaste visant à protéger une espèce en voie de disparition à la fois écologiquement importante et culturellement symbolique. Les monarques sont reconnus pour leur parcours migratoire incroyable qui s’étend sur des milliers de kilomètres du Canada jusqu’au Mexique en passant par les États-Unis. Or, leurs populations connaissent un déclin en raison de la perte d’habitats, des changements climatiques et de l’utilisation de pesticides. Vos observations peuvent faire une différence en fournissant des données essentielles qui guideront les stratégies de conservation et contribueront à protéger l’avenir de ces papillons.

Comment s’impliquer?

Du 26 juillet au 4 août, téléversez vos observations de monarque ou d’asclépiade sur l’appli iNaturalist ou au iNaturalist.ca et elles seront automatiquement ajoutées au Blitz de suivi du monarque iNaturalist . Si vous téléversez vos observations sur iNaturalist, vous n’avez pas à les ajouter vous-même au projet, mais vous pouvez y jeter un coup d’œil pour voir vos contributions et celles des autres. N’oubliez pas que le projet porte sur les 13 espèces d’asclépiades présentes au Canada et sur toutes les étapes de la vie du monarque.

Pour ajouter de la valeur à vos observations de monarque, vous pouvez y revenir une fois qu’elles sont téléversées dans l’appli ou en ligne et mentionner l’étape du cycle de vie, soit adulte, œuf, larve ou pupe (c.-à-d. chrysalide ou cocon), en commentaire. Vous donnerez ainsi de l’information supplémentaire importante aux chercheurs, ce qui leur permettra de mieux utiliser vos données.

Vous pouvez aussi consulter ces autres initiatives de suivi du monarque pendant le blitz :

Envie d’en faire un peu plus?

Les résidents de l’Ontario qui cherchent à relever un défi supplémentaire peuvent se joindre au projet iNaturalist Monarch Migration in Ontario/Migration du monarque en Ontario. Ce projet invite les utilisateurs à contribuer au suivi des observations de monarques et de leurs lieux de repos (c.-à-d. les sites où ils passent la nuit) afin d’obtenir de précieuses données sur les schémas habituels de migration et l’utilisation de l’habitat chez cette espèce. En participant à ce projet, vous contribuez à améliorer notre compréhension de la migration du monarque et à soutenir les efforts de conservation.

Prenez part à cet événement passionnant et puissant. Votre participation au Blitz international de suivi du monarque peut contribuer à un avenir meilleur pour ce papillon. Faisons une différence ensemble!

Posted on July 26, 2024 03:37 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 0 comments | Leave a comment

July 17, 2024

The 2024 City Nature Challenge Showdown Between Montreal and Vancouver




By Acacia Frempong-Manso



The curtain has fallen on the 2024 City Nature Challenge (CNC), a global initiative highlighting the diversity of life on our planet.





In partnership with the Canadian Wildlife Federation, 40 Canadian cities participated in a spirited race to document the most observations. Metro Vancouver Regional District and Montreal emerged as dynamic contenders in this thrilling competition.

The contest was fiercely competitive, with Metro Vancouver Regional District and Montreal exchanging the lead for the most observations throughout the four-day event. How did they achieve this? Joining us are John and Katherine, who will share the strategies behind their cities' successes and their overall impressions of this year's CNC.

1. What motivated your respective cities to participate in the City Nature Challenge, and what were your initial goals?

John: Before 2024 several municipalities in our area engaged separately but this meant our results were significantly lower than other cities. The goal for this year was to successfully amalgamate the regional area to make the participation a level playing field matching other cities in Canada and globally. With our province having a wide range of environmental biomes and a high perceived level of biodiversity, we believed this event was a great opportunity to showcase and validate this biodiversity, especially within our highly urbanized Fraser River delta.

Katherine: The Greater Montreal/Tiohtià:ke City Nature Challenge has been organized for the past three years by the non-profit conservation organization, Technoparc Oiseaux, and by the Campus Biodiversity Network, an international, Montreal-based consortium of post-secondary campuses working to monitor biodiversity on college and university campuses. Our goal today remains the same as when we first enrolled as formal organizers – encouraging as many people as possible to feel engaged and valued in making community-science observations in an urban environment.

2. How did you engage your local communities and organizations to participate in the challenge?

John: We used online communication channels and augmented this with having volunteers advertise in their places where they were active or worked. Once our iNaturalist Canada project was built we used the journal postings to communicate across stakeholders’ and others as they joined the project. We used a past iNaturalist project to identify observers and then used the iNaturalist e-mail function to communicate to about 350 of these experienced iNaturalist users.

Katherine: As with many organizing teams for the CNC, our first recourse was to reach out to people who we knew were already involved in making iNaturalist observations and encourage them to participate. We held information sessions for the broader public and also tried to support smaller conservation groups that wanted to run bioblitzes.

3. What do you think contributed to the high level of participation and competitiveness in your cities?

John: As the tallies came in there was a realization that we were in a race for the most observations, but it was going to be a lot closer than we anticipated. We were adding journal posts and sending emails to iNatrualist users and the extended team and to our surprise there was a positive series of responses, so we had to press on. We have a tremendous respect for all of the other teams that participated. They helped us grow and stretch and, in the end, we collectively added to the level of engagement with nature with a secondary outcome of generating the largest input into biodiversity data for Canada in this challenge to date.

Katherine: We didn't pay much attention at the beginning of the event to the observation counts; we were watching participant levels. Last year, we had the most participants in Canada, and our goal this year was to increase engagement even further. Often with a bioblitz event like the CNC, it's a very small group of organizers who are racing to make the most observations. But over the years, we've come to see that the number of observations isn't the most interesting part of the event; in fact, we'd love to see iNaturalist leaderboards reprioritized so that numbers of species and participants could take precedence on the landing pages of projects over observation counts.

4. What impact do you think the City Nature Challenge has had on raising awareness about urban biodiversity and conservation efforts in your communities?

John: We plan to grow and, as we do, assess changes in awareness about urban biodiversity. We are considering distributing surveys to determine how citizen science activities, such as the CNC, motivate people to engage in conservation efforts. However, we will focus our scope on this event only.

Katherine: It's not clear how much the average Greater Montreal/Tiohtià:ke resident knows about the City Nature Challenge, but that's ok, we're getting there! What we do know from feedback of new "iNatters" during the event is that many people speak of their experience as having been transformative for them. When we introduce people to the iNaturalist app or to what counts as biodiversity in an urban environment, we try to affirm in these conversations that people have real agency to contribute to conservation through these observations, that "every observation counts," and that people don't have to be experts to contribute meaningfully to the documentation of biodiversity in urban spaces.

5. Looking ahead, how do you plan to sustain the momentum generated by the City Nature Challenge for next year’s CNC?

John: We want more of everything, observers, identifiers, observations, average observations per observer, more species. Letting everyone know what the expectations are will be key. We intend to use our rank in this event to hopefully motivate new people to get engaged. It is generally easier to get new people involved if you have a positive story and we (all) do. We will assess if we can motivate the existing iNaturalist users in this event who only had 10 or fewer observations and see if we can encourage them to participate again but set a target of 50 – 100 observations.

Katherine: We will keep moving forward with information sessions for prospective participants and try to engage more people through various communication networks. The rhythm of the event itself is hard to maintain, but we have accepted the (positive) outcome that while there may be attrition on iNaturalist use in Greater Montreal/Tiohtià:ke after the CNC, we always end up with more permanent users than before, which gives us reason to hope for next year as well!

6. What was a memorable moment or observation during the CNC that stood out to you?

John: A new species for me was the Oregon Forest Snail which is believed to be very rare in our area.

Katherine: It may sound clichéd, but the best moment is always watching someone make their first iNaturalist observation, seeing that "aha!" moment when a species is observed and documented. That enthusiasm is contagious and gives organizers our motivation

7. What kind of comments did you receive from the committed iNaturalist users who take part?


John: Many told us they had a great time, even fun came as a result of the comradery we had during our walks. If you get people out in nature and they have a great time, the downstream benefits have to be very positive for all of us. What seemed to resonate with many attendees on our walks was seeing and learning about nature in real time. The smile on one of the younger attendees was priceless.

Katherine: One comment we received this year that really struck home was praising the work of identifiers, those folks who identify species seen by others and generously share their time and expertise, ensuring that observations can be validated and are of the highest quality possible for global biodiversity research. Because the CNC does not really offer a leaderboard for identifiers, the herculean work of these people sometimes goes unsung, and so it was great to have this effort highlighted.

La compétition entre Montréal et Vancouver pour le Défi nature urbaine 2024

Par Acacia Frempong-Manso

Voilà maintenant achevé le Défi nature urbaine (DNU) 2024, une initiative mondiale mettant en évidence la diversité de la vie sur notre planète.




En partenariat avec la Fédération canadienne de la faune, 40 villes canadiennes ont participé à une course animée pour documenter le plus d’observations. Le district régional du Grand Vancouver et Montréal se sont démarqués comme des concurrents dynamiques au cours de cette compétition palpitante.

La concurrence était vive : le district régional du Grand Vancouver et Montréal atteignaient à tour le plus grand nombre d’observations tout au long du concours de quatre jours. Comment y est-on arrivé? Nous nous entretenons avec John et Katherine, qui présenteront les stratégies ayant permis la réussite de leurs villes et leurs impressions d’ensemble au sujet du DNU de cette année.

1. Qu’est-ce qui a motivé vos villes respectives à participer au Défi nature urbaine, et quels étaient vos objectifs initiaux?

John : Avant 2024, plusieurs municipalités de notre région ont participé séparément, mais de cette façon nos résultats étaient considérablement plus bas que ceux d’autres villes. L’objectif, cette année, était de réussir à amalgamer la région pour que la participation se fasse sur un pied d’égalité avec d’autres villes au Canada et dans le monde. Comme notre province a un vaste éventail de biomes environnementaux et un niveau perçu de biodiversité élevé, il nous a semblé que cet événement constituait une excellente occasion de mettre en vedette et confirmer cette biodiversité, particulièrement dans notre delta fortement urbanisé du fleuve Fraser.

Katherine : Le Défi nature urbaine du Grand Montréal/Tiohtià:ke est organisé depuis trois ans par l’organisme de conversation à but non lucratif Technoparc Oiseaux, ainsi que par le réseau Biodiversité au campus, un consortium international – dont le siège est à Montréal – d’établissements collégiaux et universitaires qui s’emploient à surveiller l’évolution de la biodiversité au fil du temps sur leurs campus. Notre but reste le même aujourd’hui qu’au commencement de notre rôle d’organisateurs officiels : encourager le plus de gens possible à sentir qu’ils jouent un rôle valorisé en faisant des observations de science communautaire dans un environnement urbain.

2. Comment avez-vous amené vos collectivités et organisations locales à participer au défi?

John : Nous avons utilisé des canaux de communication en ligne, et nous avons par ailleurs également demandé à des bénévoles de faire de la publicité dans les lieux où ils étaient actifs ou travaillaient. Une fois que notre projet iNat a été élaboré, nous avons utilisé les messages du journal pour communiquer avec l’ensemble des intervenants et d’autres participants à mesure qu’ils se joignaient au projet. Nous nous sommes servis d’un projet iNat précédent pour identifier les observateurs, puis de la fonction courriel d’iNat pour envoyer des communications à environ 350 de ces utilisateurs expérimentés d’iNat.

Katherine : Comme beaucoup d’équipes organisatrices du DNU, notre premier recours a consisté à nous adresser à des gens dont nous savions qu’ils faisaient déjà des observations iNaturalist pour les encourager à participer. Nous avons tenu des séances d’information ouvertes à l’ensemble du public et avons également essayé de soutenir de petits groupes de conservation qui voulaient organiser des BioBlitz.

3. Selon vous, qu’est-ce qui a contribué au niveau élevé de participation et de compétitivité dans vos villes?

John : Au fil des décomptes, il nous est apparu que nous étions dans une course au plus grand nombre d’observations, mais qu’elle allait être beaucoup plus serrée que ce à quoi nous nous attendions. Nous ajoutions des messages au journal et envoyions des courriels à des utilisateurs d’iNat et à l’équipe étendue et, à notre surprise, il y a eu une série positive de réponses, alors il fallait que nous continuions. Nous avons un immense respect pour toutes les autres équipes qui ont participé. Elles nous ont aidés à croître et à nous dépasser, et au bout du compte nous avons ajouté collectivement au niveau de contact avec la nature, avec comme résultat secondaire d’avoir suscité le plus grand apport de données sur la biodiversité pour le Canada dans ce défi à ce jour.

Katherine : Au début de l’activité, nous ne portions pas beaucoup attention aux comptes d’observations; nous regardions le nombre de participants. L’an dernier, nous avions eu le plus de participants au Canada, et notre objectif cette année était d’accroître encore plus la participation. Souvent, dans le cas d’un événement BioBlitz comme le DNU, c’est un très petit groupe d’organisateurs qui concourent pour faire le plus d’observations. Mais au fil des ans, nous avons pu voir que le nombre d’observations n’est pas la partie la plus intéressante de l’événement ; en fait, nous aimerions bien voir les priorités des tableaux de classement iNaturalist redéfinies de manière à ce que les nombres d’espèces et de participants puissent passer avant les comptes d’observations sur les pages d’accueil des projets.

4. Selon vous, quel a été l’impact du Défi nature urbaine sur la sensibilisation à la biodiversité urbaine et aux initiatives de conservation dans vos collectivités?

John : Nous comptons nous développer et, ce faisant, évaluer les changements en ce qui a trait à la conscience de la biodiversité urbaine. Nous envisageons de distribuer des sondages pour déterminer comment les activités de science participative, par exemple le DNU, motivent les gens à prendre part à des initiatives de conservation. Cependant, nous nous concentrerons seulement sur cet événement.

Katherine : Nous ne savons pas exactement dans quelle mesure les résidents du Grand Montréal/Tiohtià:ke connaissent le Défi nature urbaine en moyenne, mais ce n’est pas grave, nous nous penchons là-dessus! Ce que nous savons en revanche, à partir de commentaires faits par de nouveaux utilisateurs d’iNaturalist au cours de l’événement, c’est que bien des gens disent que leur expérience a été transformatrice pour eux. Lorsque nous leur présentons l’appli iNaturalist ou ce qui compte comme biodiversité dans un environnement urbain, nous cherchons à faire valoir dans ces conversations que les gens ont un vrai pouvoir d’action leur permettant de contribuer à la conservation au moyen de ces observations, que « chaque observation compte » et qu’ils n’ont pas à être des spécialistes pour apporter une contribution valable à la documentation de la biodiversité dans les espaces urbains.

5. En pensant à l’avenir, comment prévoyez-vous maintenir l’élan suscité par le Défi nature urbaine pour l’an prochain?

John : Nous voulons plus de tout : plus d’observateurs, plus d’identificateurs, plus d’observations, plus d’observations par observateur en moyenne, plus d’espèces. Il sera essentiel de faire connaître les attentes à tout le monde. Nous avons l’intention de nous appuyer sur notre classement à cet événement pour, espérons-le, motiver de nouvelles personnes à participer. Généralement, c’est plus facile d’amener de nouvelles personnes à participer si on a un récit positif, et nous en avons (tous) un. Nous évaluerons si nous pouvons motiver les utilisateurs existants d’iNat qui ont participé à cette activité et qui ont eu seulement 10 observations ou moins, et nous verrons si nous pouvons les encourager à participer de nouveau, mais en nous donnant un objectif de 50 à 100 observations.

Katherine : Nous continuerons à aller de l’avant avec des séances d’information à l’intention de participants potentiels et essaierons d’intéresser davantage de personnes au moyen de différents réseaux de communication. Le rythme de l’événement lui-même est difficile à maintenir, mais nous avons accepté le résultat (positif) qu’en dépit de l’attrition qui peut survenir dans l’utilisation d’iNat dans le Grand Montréal/Tiohtià:ke après le DNU, nous finissons toujours par avoir davantage d’utilisateurs permanents qu’auparavant, ce qui nous donne une raison d’espérer pour l’année prochaine aussi!

6. Pouvez-vous nommer un moment ou une observation mémorable qui est ressorti du DNU à vos yeux?

John : L’escargot forestier de Townsend était une nouvelle espèce pour moi. On dit qu’il est très rare dans notre région.

Katherine : Ça peut sembler cliché, mais le meilleur moment est toujours de voir quelqu’un faire sa première observation iNaturalist, de voir ce moment de découverte lorsqu’une espèce est observée et documentée. Cet enthousiasme est contagieux et nous donne notre motivation comme organisateurs.

7. Quels genres de commentaires avez-vous reçus de la part des utilisateurs d’iNaturalist assidus qui participent?

John : Beaucoup nous ont dit que c’était très agréable, il y a même eu du plaisir du fait de la camaraderie que nous avons eue lors de nos marches. Si vous amenez des gens à aller dans la nature et qu’ils passent du bon temps, c’est porteur d’avantages très positifs pour nous tous. Ce que beaucoup de participants ont semblé apprécier lors de nos marches, c’est de voir la nature et d’apprendre à son sujet en temps réel. Le sourire de l’un des plus jeunes participants valait son pesant d’or.

Katherine : Un commentaire que nous avons reçu cette année qui a vraiment touché juste faisait l’éloge du travail des identificateurs, ces gens qui identifient des espèces que d’autres ont vues et qui mettent généreusement à contribution leur temps et leur expertise pour que les observations puissent être confirmées et qu’elles soient de la plus grande qualité possible aux fins de recherches sur la biodiversité mondiale. Comme le DNU n’offre pas vraiment de classement pour les identificateurs, le travail herculéen de ces gens est parfois méconnu, et c’était donc super que cet effort soit souligné.

Posted on July 17, 2024 01:36 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 0 comments | Leave a comment

June 27, 2024

Celebrating Canada Day: Embracing the Unique Habitats of the Great North





By Acacia Frempong-Manso



On Canada Day we celebrate the diversity of cultures, history and natural wonders that define our great nation

Let's also focus on the breathtaking habitats that make Canada's landscape so remarkable. From mountains to coastlines and boreal forests, Canada boasts an extraordinary array of habitats filled with diverse plant and animal life.

Canada's mountain ranges, such as the Rocky Mountains and the Canadian Rockies, stand tall, capturing the imagination of adventurers and nature enthusiasts alike. These peaks not only offer stunning views but also provide essential habitats for a wide range of species. From elusive Wolverines and Bighorn Sheep to vibrant alpine wildflowers and glacial lakes, these mountainous regions offer a glimpse into the wonders of nature.

Our coastline is full of natural beauty and biodiversity. From the shores of Newfoundland and Labrador to the Pacific coastline of British Columbia and the Atlantic provinces, our coastal regions support a rich marine ecosystem. Whales, seals, seabirds, and vibrant intertidal communities thrive in these areas, showcasing the interconnection between land and sea.

Stretching across Canada's northern regions, the boreal forests serve as a testament to our commitment to conservation. These ancient woodlands, often referred to as the "lungs of the Earth," provide critical habitat for countless species. Moose, wolves, lynx, and migratory birds find sanctuary within this remarkable ecosystem. Additionally, the boreal forests are home to stunning lakes and wetlands, contributing to our country's freshwater biodiversity.

British Columbia's coastal rainforests stand out as remarkable within Canada's natural heritage. These temperate rainforests, with towering cedar and spruce trees wrapped in mosses and ferns, create a lush environment. This unique habitat harbors an incredible diversity of species, including the iconic Spirit Bear, cougars and numerous bird species.

In Canada's Arctic tundra, captivating beauty meets extreme conditions. This distinct habitat, characterized by vast stretches of treeless plains and frozen landscapes, supports a range of resilient wildlife species. Polar Bears, Arctic Foxes, Muskoxen, and migratory birds navigate the challenges of this harsh environment, highlighting the adaptability of nature in the face of adversity.

This Canada Day, as you spend time outdoors appreciating the natural beauty that Canada has to offer, consider joining the Canadian Wildlife Federation's (CWF) Observation Nation Project. By making observations and sharing your findings, you contribute valuable data that aids in understanding the health and distribution of species here in Canada.

This Canada Day, let us unite in our love for our country's remarkable habitats, honoring their beauty, resilience, and the critical role they play in sustaining life. These remarkable landscapes, serve as reminders of the incredible biodiversity and natural wonders that make Canada truly special.

Visit our website for more on our Observation Nation project on iNaturalist and explore our website to learn more about our competition.

Célébrons la Fête du Canada en rendant hommage aux habitats uniques du Grand Nord


Par Acacia Frempong-Manso

À l’occasion de la Fête du Canada, alors que nous célébrons la diversité des cultures, de l’histoire et des merveilles naturelles qui définissent notre grand pays, rendons également hommage à nos habitats époustouflants et à nos paysages remarquables. Des montagnes aux côtes et aux forêts boréales, le Canada possède une gamme extraordinaire d’habitats foisonnants d’une grande diversité de vie végétale et animale.

Les chaînes montagneuses, comme les Rocheuses et les Rocheuses canadiennes, dominent le paysage, captivant l’imagination des aventuriers et des amoureux de la nature. Elles offrent non seulement des vues extraordinaires, mais fournissent également des habitats essentiels à un vaste éventail d’espèces. Des carcajous insaisissables aux mouflons d’Amérique, en passant par les fleurs sauvages alpines colorées et les lacs glaciaires, elles regorgent de merveilles naturelles et de biodiversité.

Et notre littoral n’a rien à leur envier : des côtes de Terre-Neuve-et-Labrador à la côte Pacifique de la Colombie-Britannique et aux provinces de l’Atlantique, nos régions côtières abritent un riche écosystème marin. Des baleines, des phoques, des oiseaux marins et des communautés d’organismes intertidaux dynamiques prospèrent dans ces zones, témoignant des liens qui unissent étroitement la terre et la mer.

S'étendant à travers le nord du Canada, les forêts boréales témoignent de notre engagement envers la conservation. Ces forêts anciennes, souvent qualifiées de « poumons de la Terre », fournissent un habitat essentiel à d’innombrables espèces. Des orignaux, des loups, des lynx et des oiseaux migrateurs trouvent refuge dans cet écosystème remarquable. Les forêts boréales abritent de plus de superbes lacs et zones humides, qui contribuent à la biodiversité des milieux d’eau douce du Canada.

Les forêts pluviales côtières de la Colombie-Britannique se distinguent de façon remarquable au sein du patrimoine naturel du Canada. Ces forêts pluviales tempérées, avec leurs imposants cèdres et épinettes revêtus de mousses et de fougères, créent un environnement luxuriant. Cet habitat unique abrite une incroyable diversité d’espèces, notamment l’emblématique ours Kermode, le cougar et de nombreux oiseaux.

Dans la toundra arctique du Canada, la beauté captivante des paysages s’accompagne de conditions extrêmes. Cet habitat distinctif, caractérisé par de vastes étendues de plaines dénuées d’arbres et de paysages gelés, abrite toute une gamme d’espèces sauvages résilientes. Des ours polaires, des renards arctiques, des bœufs musqués et des oiseaux migrateurs relèvent les défis de cet environnement hostile, soulignant ainsi la capacité d’adaptation de la nature face à l’adversité.

En cette Fête du Canada, pendant que vous profitez dehors des beautés naturelles de notre pays, envisagez de participer au projet des BioObservateurs de la Fédération canadienne de la faune. En consignant vos observations et en partageant vos découvertes, vous contribuerez à une base de données précieuse qui participe à la compréhension de la répartition et de la santé des espèces présentes au Canada.

En cette Fête du Canada, unissons-nous dans l’amour de nos habitats remarquables, honorons leur beauté, leur résilience et le rôle essentiel qu’ils jouent dans le maintien de la vie. Nos paysages remarquables rappellent l’incroyable biodiversité et les merveilles naturelles uniques du Canada.

Visitez notre site Web pour en savoir plus sur notre projet des BioObservateurs sur iNaturalist et découvrez notre concours.

Posted on June 27, 2024 03:45 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 0 comments | Leave a comment

June 12, 2024

Youth is Committed to iNaturalist Observation Goal





 American Black Duck (Anas rubripes)

American Black Duck (Anas rubripes) ©Michelle Norcéide



By Acacia Frempong-Manso

Welcome to an exciting journey through Canada's natural wonders!

This journey is led by one extraordinary individual: Michelle Norcéide, a participant of the Canadian Wildlife Federation's Canadian Conservation Corps program. Michelle's passion for biodiversity, fueled by her experiences with the iNaturalist app, has led her on a quest of discovery, inspiration, and conservation. In this series of Q&A sessions, Michelle shares her adventures, challenges, and triumphs as she aims to document 1,000 species across Canada. From her initial encounter with iNaturalist Canada to the memorable observations along her journey, Michelle's story showcases the power of curiosity and the joy of connecting with nature.

Q: How did you first learn about iNaturalist Canada? What were your first impressions of the app?


I discovered iNaturalist while searching for a species identification app. What attracted me was the fact that it was quite versatile which made it convenient for me to review my species photos and locations. The community weighing in to help identify the species in my photos is what ultimately kept me engaged. Having others confirm my observations inspired me to imagine a future where I could be as knowledgeable as them.

Q: What inspired you to embark on the journey of reaching 1,000 species on iNaturalist Canada? Was there a particular moment or experience that sparked this goal?


During the initial months of the 2020 lockdown, I immersed myself in nature-related videos and documentaries. I noticed that many of those documentaries featured species from the United States and Europe. I quickly became aware that I didn’t know much about the biodiversity you could find in Canada. That spring I started messing around with iNaturalist. Everything changed in the summer when I moved to a new province and used the application to understand my new environment. I reached 100 observations quite fast and thought it might be fun to do this all around the country. I set a goal for myself to photograph 1,000 different species, envisioning it as an opportunity to travel and shift my perspective on nature.


Red Fox

Red Fox (Vulpes vulpes)
©Michelle Norcéide



Q: Could you share some of the most memorable or fascinating observations you've made while pursuing this goal? Any standout moments in your journey?


I must admit that I really don’t think about my observations individually, instead I perceive them as integral parts of a larger whole. Most of the time I plan my outings a couple of days in advance. Along the way, I will take pictures of the landscape and my friends and as such when I try to remember observations, I mostly think about the biome I was exploring, all the species I found and anything memorable that happened. I am never sure about the number of pictures I have taken or the number of distinct species until I am home uploading and identifying everything. There’s been a couple of times when going home I have discovered that I have pictures of almost 50 distinct species in a single day and I think those are the days that stand out the most to me.


Q: Were there any challenges or obstacles you faced while working towards this goal?


One of the biggest difficulties I faced when working towards this goal was mostly realizing how hard it can be to reach natural sites when you live in the city, and you don’t really drive. When I first envisioned this challenge, I took observations somewhat randomly in my daily life, spotting flowers or insects during social outings with friends and taking some pictures. Quickly though, I realized that at that pace I wouldn’t really reach my goal. So, I changed my approach. One evening, when I was feeling particularly motivated, I went on google maps and started bookmarking every single natural park I could find. I started with parks in my city, but as I went along my wanderlust expanded, I marked potential destinations across my province, surrounding areas, and eventually throughout Canada and North America. At the end of the night, my list would contain over 300 different sites, and I shifted my objective to figuring out how to visit those places. This endeavour opened my eyes to the significant biodiversity in urban areas.


Tatarian Honeysuckle

Tatarian Honeysuckle (Lonicera tatarica) ©Michelle Norcéide



Q: What strategies or tips for beginners have you found most effective in consistently making observations on iNaturalist Canada?


I take a systematic approach to observations. During walks and hikes, I try to photograph every distinct species I encounter, at least once. I will go with my camera with a telephoto lens to be able to take pictures of birds and mammals and I will have my phone ready to take pictures of plants and fungi. My goal is always to take pictures of as many distinguishing traits, angles and closeup shots as possible.

I think that my biggest tip would be “Don’t discriminate, photograph everything that interests you!”. Initially, I overlooked mosses, grasses, sedges and rushes, considering them less interesting. However, reviewing my pictures these days and being able to compare their diversity, I admire the incredible variety you can find in those taxa.

Another valuable tip is to take a closer look at things. Many times, I've made interesting discoveries by examining the ground, a rock, or even the bark of a tree, observing species that might have gone unnoticed otherwise.


Q: In what ways do you believe your contributions to iNaturalist Canada have made an impact? How do you see the collective efforts of citizen scientists influencing conservation or scientific understanding?


Other than providing general data on the biodiversity of the areas I explore, I have by chance stumbled upon some invasive, as well as endangered species. I participate in a lot of projects on the platform because I want to make sure that everything I share serves its maximum utility. I believe the collective efforts of citizen scientists are crucial for obtaining accurate data and gauging the state of nature across the country.

When I initially started my project, my knowledge of biology and taxonomy was limited, and I wasn't entirely sure about my approach. However, interacting with other users on the platform, especially the identifiers who occasionally share tips and references, has been immensely helpful. I've discovered that even a seemingly random observation can hold significant scientific value, highlighting the importance of collective contributions from citizen scientists and cooperation among individuals.



 Pale Green Assassin Bug Zelus luridus
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Pale Green Assassin Bug (Zelus luridus) ©Michelle Norcéide



Q: Looking ahead, after you’ve achieved this milestone, what's next on your nature observation agenda? Are there new goals or projects you're considering within the realm of biodiversity documentation?


I am committed to continuing my documentation efforts. I foresee myself venturing into regions of the country where observations are scarce or nonexistent to continue what has now become my passion. The allure of adventure, as well as my affinity for organizing and planning, has me contemplating organizing expeditions in the territories as well as the more remote areas of different provinces. I would definitely love to close some of the gaps in observations you can find in the Canadian backcountry.

Une jeune femme s'engage à atteindre un objectif ambitieux en matière d’observations dans iNaturalist



 American Black Duck (Anas rubripes)

American Black Duck (Anas rubripes) ©Michelle Norcéide

Par Acacia Frempong-Manso

Bienvenue à un voyage passionnant à travers les merveilles naturelles du Canada entrepris par une personne extraordinaire : Michelle, une participante du Corps de conservation canadien de la Fédération canadienne de la faune. La passion de Michelle pour la biodiversité, alimentée par ses expériences avec l'application iNaturalist, l'a menée dans une quête de conservation remplie de découvertes et d'inspiration. Dans cette série de questions, Michelle nous fait part de ses aventures, des défis qu’elle a dû relever et des triomphes qu’elle a vécus alors qu'elle vise à consigner 1000 espèces à l’échelle Canada. De sa découverte d’iNaturalist Canada aux observations mémorables qu'elle a faites tout au long de son voyage, l'histoire de Michelle illustre le pouvoir de la curiosité et la joie d'entrer en contact avec la nature.

Comment avez-vous découvert iNaturalist? Quelles ont été vos premières impressions de l'application?

J'ai découvert iNaturalist alors que je cherchais une application d'identification des espèces. Ce qui m'a attiré, c'est le fait qu'elle soit assez polyvalente. C’était facile de consulter mes photos d'espèces et leur emplacement. C'est la communauté qui m'a aidé à identifier les espèces sur mes photos qui a maintenu mon intérêt. Les autres qui confirmaient mes observations m'ont incité à imaginer un avenir où je pourrais être aussi bien informée qu'eux.



Red Fox

Renard roux (Vulpes vulpes)
©Michelle Norcéide


Qu'est-ce qui vous a incité à vous lancer dans l'aventure de consigner 1000 espèces dans iNaturalist? Y a-t-il eu un moment ou une expérience particulière qui a déclenché cet objectif?

Au cours des premiers mois du confinement de 2020, je me suis plongée dans des vidéos et des documentaires sur la nature. J'ai remarqué que beaucoup de ces documentaires présentaient des espèces des États-Unis et de l’Europe. Je me suis rapidement rendu compte que je ne connaissais pas grand-chose sur la biodiversité que l'on peut trouver au Canada. Ce printemps-là, j'ai commencé à m'intéresser à iNaturalist. Tout a changé au cours de l'été, lorsque j'ai déménagé dans une nouvelle province et que j'ai utilisé l'application pour mieux connaître mon nouvel environnement. J'ai rapidement atteint les 100 observations et j'ai pensé qu'il serait amusant de faire la même chose dans tout le pays. Je me suis fixé l'objectif de photographier 1000 espèces différentes, envisageant cela comme une occasion de voyager et de changer ma perspective sur la nature.


Q : Pourriez-vous nous faire part des observations les plus mémorables ou les plus fascinantes que vous avez faites en poursuivant cet objectif? Quels sont les moments les plus marquants de votre voyage?


Je dois admettre que je ne pense pas vraiment à mes observations individuellement, je les perçois plutôt comme des parties intégrantes d'un ensemble plus vaste. La plupart du temps, je planifie mes sorties quelques jours à l'avance. En chemin, je prends des photos du paysage et de mes amis et, lorsque j'essaie de me souvenir de mes observations, je pense surtout au biome que j'explorais, à toutes les espèces que j'ai trouvées et à tout ce qui s'est passé de mémorable. Je ne suis jamais certaine du nombre de photos que j'ai prises ou du nombre d'espèces distinctes que j’ai photographiées jusqu'à ce que je sois chez moi en train de télécharger et d'identifier tout ce que j'ai trouvé. Il y a eu quelques fois où, en rentrant chez moi, j'ai découvert que j'avais pris des photos de près de 50 espèces distinctes en une seule journée. Je pense que ce sont les jours les plus mémorables plus pour moi.


Tatarian Honeysuckle

Lonicera tatarica ©Michelle Norcéide




Q : Avez-vous rencontré des difficultés ou des obstacles en travaillant à la réalisation de cet objectif?

L'une des plus grandes difficultés que j'ai rencontrées en essayant d’atteindre mon objectif a été de réaliser à quel point il peut être difficile de se rendre à des sites naturels lorsqu’on vit en ville et qu’on ne conduit pas vraiment. Lorsque j'ai envisagé ce défi pour la première fois, j'ai fait des observations un peu au hasard dans ma vie quotidienne, en prenant quelques photos des fleurs ou des insectes que je rencontrais durant mes sorties avec des amis. Rapidement, je me suis rendu compte qu'à ce rythme, je n'atteindrais pas vraiment mon objectif. J'ai donc changé d'approche. Un soir, alors que je me sentais particulièrement motivée, je suis allée sur Google Maps et j'ai commencé à mettre en signet tous les parcs naturels que je pouvais trouver. J'ai commencé par les parcs de ma ville, mais au fur et à mesure que j'avançais, mon envie de voyager s'est accrue et j'ai marqué des destinations potentielles dans ma province, dans les régions avoisinantes et finalement dans tout le Canada et l'Amérique du Nord. À la fin de la soirée, ma liste contenait plus de 300 sites différents, et j'ai changé d'objectif pour trouver comment visiter ces endroits. Cet exercice m'a ouvert les yeux sur l'importance de la biodiversité dans les régions urbaines.


Q : Quels sont les stratégies ou les conseils pour les débutants que vous avez trouvés les plus efficaces pour faire des observations régulières dans iNaturalist?

J'adopte une approche systématique pour consigner des observations. Pendant mes promenades et mes randonnées, j'essaie de photographier chaque espèce distincte que je rencontre, au moins une fois. Je pars avec mon appareil photo équipé d'un téléobjectif pour pouvoir photographier les oiseaux et les mammifères, et j'ai mon téléphone à portée de main pour photographier les plantes et les champignons. Mon objectif est toujours de prendre des photos du plus grand nombre possible de traits distinctifs, d'angles et de gros plans.

Je pense que mon plus grand conseil serait « Ne faites pas de discrimination. Photographiez tout ce qui vous intéresse! ». Au départ, j'ai négligé les mousses, les herbes, les carex et les joncs, les jugeant moins intéressants. Cependant, en revoyant mes photos ces jours-ci et en étant capable de comparer leur diversité, j'admire l'incroyable variété que l'on peut trouver dans ces taxons.

Un autre conseil précieux est de regarder les choses de plus près. J'ai souvent fait des découvertes intéressantes en examinant le sol, un rocher ou même l'écorce d'un arbre, observant des espèces qui seraient passées inaperçues autrement.



 Pale Green Assassin Bug Zelus luridus)

Zelus luridus
©Michelle Norcéide



Q : Quel effet ont eu vos contributions à iNaturalist selon vous? Comment voyez-vous les efforts collectifs des citoyens scientifiques influencer le domaine de la conservation ou les connaissances scientifiques?

En plus de fournir des données générales sur la biodiversité dans les régions que j'explore, je suis tombée par hasard sur des espèces envahissantes ou en voie de disparition. Je participe à de nombreux projets dans la plateforme, car je veux m'assurer que tout ce que je partage a une utilité maximale. Je pense que les efforts collectifs des citoyens scientifiques sont essentiels pour obtenir des données précises et évaluer la situation de la nature partout au pays.

Lorsque j'ai commencé mon projet, mes connaissances en biologie et en taxonomie étaient limitées et je n'étais pas tout à fait sûre de mon approche. Mais les discussions que j’ai eues avec les autres utilisateurs de la plateforme, en particulier les identificateurs qui partagent occasionnellement des conseils et des références, m'ont été extrêmement utiles. J'ai découvert que même une observation apparemment aléatoire peut avoir une valeur scientifique significative, ce qui souligne l'importance des contributions collectives des citoyens scientifiques et de la coopération entre les utilisateurs.

Q : Une fois cette étape franchie, quelle est la prochaine étape de votre projet d'observation de la nature? Y a-t-il de nouveaux objectifs ou projets que vous envisagez d'entreprendre dans le domaine de la consignation de la biodiversité?

Je m'engage à poursuivre mes efforts de consignation de la biodiversité. Je prévois de m'aventurer dans des régions du pays où les observations sont rares, voire inexistantes, afin de poursuivre ce qui est devenu ma passion. L'attrait de l'aventure, ainsi que mon affinité pour l'organisation et la planification, m'amènent à envisager d'organiser des expéditions dans les territoires, ainsi que dans les régions plus éloignées des différentes provinces. J'aimerais vraiment combler certaines lacunes dans les observations que l'on peut trouver dans les régions reculées du Canada.

Posted on June 12, 2024 08:45 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 1 comment | Leave a comment

May 08, 2024

The Results Are In for the 2024 City Nature Challenge!




By Acacia Frempong-Manso




The largest worldwide bioblitz to track wildlife around the globe just wrapped up.

In the hustle and bustle of urban life, it’s easy to forget the natural world that exists right outside our doorstep. However, events like the City Nature Challenge serve as a reminder of the biodiversity thriving in our cities and urban environments. In 2024, this global event once again brought together nature enthusiasts, scientists, and communities from 48 countries to document and celebrate urban biodiversity.

The City Nature Challenge, initiated by the Natural History Museum of Los Angeles County and the California Academy of Sciences, has grown into a global phenomenon since its launch in 2016. The challenge invites people from cities around the world to explore and document the flora and fauna in their urban areas using the iNaturalist app. By making observations, participants contribute valuable data for scientific research while fostering a deeper connection with nature.





Canada, known for its landscapes and rich biodiversity, made significant contributions to the 2024 City Nature Challenge. A total of 40 Canadian cities across the country embraced the challenge with enthusiasm, showcasing the remarkable variety of wildlife and plant life thriving in urban environments.

How Did Canadian Cities Fare?





How did Canada do with 690 cities around the world all jockeying for top spot in this friendly, yet collaborative, competition to build a living record of biodiversity? Considering that snow finally melted in most parts of Canada just weeks ago, seven cities impressively made it in the top 100, competing with places like La Paz, Bolivia, Monterrey, Mexico, and San Antonio, United States.

But the real success is that 2.4 million observations were recorded globally, encompassing more than 65,000 species, 3,940 of which are rare, threatened, or endangered. All in just four days!

Here in Canada, we collectively recorded 123,452 observations covering 5,157 species up from 74,972 observations and 4,433 species. Nearly three quarters of the species diversity (number of different species) consisted of plants and insects. Are you curious about what species was the most observed during the City Nature Challenge? Check out the Canada-wide project to find out, along with what other species were recorded, and all 40 city results.

Along with the most common species, 1673 observations were made of 122 different species at risk in Canada during the time period of the City Nature Challenge. This included several locations of the endangered Chorus Frog which can only be heard calling at this time of year and otherwise nearly impossible to find. Also among the tally is the endangered Blanding’s Turtle, the Piping Plover, Orcas, and many more. Over 300 observations of at-risk turtles, covering 6 of the 8 species we have in Canada were observed and a super early observation of the endangered monarch butterfly was observed in southern Ontario. If you want to learn more, there’s a whole iNaturalist project you can view that tracks our species at risk in Canada.

What Happens With the Data Now?

Data collected during the City Nature Challenge feeds into iNaturalist Canada, which is used by researchers, conservation organizations and the general public to help learn about and protect the species we share our cities with. The Committee on the Status on Endangered Wildlife in Canada (COSEWIC) are increasingly incorporating iNaturalist data when assessing species at risk. All of this is only made possible by indispensable, dedicated organizers and participants in each city, and there’s already continued interest in next year’s City Nature Challenge.

The City Nature Challenge has seen remarkable growth in Canada over the years, captivating nature enthusiasts and communities across the country. Since its introduction, the CNC has evolved from a small-scale initiative to a nationwide phenomenon, with increasing participation and enthusiasm each year. What began as a humble endeavor to document urban biodiversity has blossomed into a celebrated event that unites Canadians in their appreciation for nature. As you can see in the graphs below, the CNC continue to inspire greater engagement with nature and foster a sense of stewardship for the environment among Canadians of all ages and backgrounds.

Nous avons les résultats du Défi nature urbaine 2024

Par Acacia Frempong-Manso

C’est le plus grand BioBlitz de suivi de la faune et de la flore à l’échelle de la planète.

Dans l’agitation de la vie urbaine, il est facile d’oublier le monde naturel qui existe juste devant notre porte. Cependant, des activités comme le Défi nature urbaine nous rappellent que la biodiversité prospère dans nos villes et nos environnements urbains. En 2024, cet événement mondial a de nouveau rassemblé des passionnés de la nature, des scientifiques et des communautés de 48 pays pour consigner et célébrer la biodiversité urbaine.

Le Défi nature urbaine, initié par le Natural History Museum of Los Angeles County et la California Academy of Sciences, est devenu un phénomène mondial depuis son lancement en 2016. Le défi invite les habitants de villes du monde entier à explorer et à consigner la flore et la faune qu’ils trouvent dans leur ville dans l’application iNaturalist. En enregistrant des observations, les participants fournissent des données précieuses aux chercheurs scientifiques tout en favorisant une relation plus profonde avec la nature.

Le Canada, connu pour ses paysages et sa riche biodiversité, a grandement contribué au Défi nature urbaine 2024. Au total, 40 villes canadiennes ont relevé le défi avec enthousiasme, mettant en valeur la remarquable variété de la faune et de la flore qui prospèrent dans les environnements urbains.

Comment le Canada s’est-il classé par rapport aux 667 villes dans le monde entier qui se disputaient la première place dans le cadre de cette compétition amicale, mais collaborative, visant à établir un registre vivant de la biodiversité? Si l’on considère que la neige a finalement fondu dans la plupart des régions du Canada il y a quelques semaines, six villes ont réussi à figurer dans le palmarès des 100 villes les plus performantes, en concurrence avec des villes comme La Paz (Bolivie), Monterrey (Mexique) et San Antonio (États-Unis).




Mais ce qui est plus impressionnant, c’est que 1,8 million d’observations ont été enregistrées partout dans le monde, englobant plus de 57 000 espèces, dont 2 570 espèces rares, menacées ou en voie de disparition. Tout cela en quatre jours seulement!

Au Canada, nous avons enregistré 74 972 observations de 4 433 espèces. Près des trois quarts de la diversité des espèces (nombre d’espèces différentes) étaient constitués de plantes (la moitié) et d’insectes (un quart). Voulez-vous savoir quelle espèce a été la plus observée pendant le Défi nature urbaine? Consultez la page du projet pancanadien pour le découvrir, ainsi que les autres espèces observées et les résultats des 40 villes.

En plus des espèces les plus communes, 833 observations ont été faites de 103 espèces en péril différentes à l’occasion du Défi. Il s’agit notamment de plusieurs observations de la rainette faux-grillon, une espèce en voie de disparition que l’on n’entend chanter qu’à cette période de l’année et qu’il est pratiquement impossible de trouver autrement. On compte également bien d’autres espèces en voie de disparition, dont la tortue mouchetée, le pluvier siffleur, l’épaulard et bien d’autres encore. Si vous voulez en savoir plus, il existe tout un projet iNaturalist qui suit nos espèces en péril au Canada.

Les données recueillies lors du Défi nature urbaine alimentent iNaturalist Canada, qui est utilisé par les chercheurs, les organismes de conservation et le grand public pour mieux connaître et protéger les espèces avec lesquelles nous partageons nos villes. Le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) intègre de plus en plus les données d’iNaturalist durant l’évaluation des espèces en péril. Cet événement n’est rendu possible que grâce à des organisateurs et à des participants indispensables et dévoués dans chaque ville. On démontre déjà de l’intérêt pour le Défi nature urbaine de l’an prochain.

Le Défi nature urbaine a connu une croissance remarquable au Canada au fil des ans, captivant les amateurs de la nature et des communautés aux quatre coins du pays. Depuis son lancement, le DNU est passé d’une initiative à petite échelle à un phénomène national, avec une participation et un enthousiasme croissants chaque année. Ce qui n’était au départ qu’une modeste tentative de consigner la biodiversité urbaine s’est transformé en événement célébré qui unit les Canadiens dans leur amour de la nature. Comme le montrent les graphiques ci-dessous, les DNU continuent d’inspirer un plus grand engagement envers la nature et de favoriser un sentiment d’intendance de l’environnement chez les Canadiens de tous les âges et de tous les horizons.

Posted on May 08, 2024 01:56 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 0 comments | Leave a comment

April 23, 2024

Get Ready for the 2024 City Nature Challenge!




By Acacia Frempong-Manso


With spring just around the corner, nature enthusiasts, scientists and curious minds alike gear up for an exhilarating event — the City Nature Challenge 2024.

This annual global event — born out of a collaboration between the Natural History Museum of Los Angeles County and the California Academy of Sciences — has now become a beacon of citizen science. The event unites communities around the world in a shared mission: to explore and document the biodiversity in their urban environments.

The City Nature Challenge is split into two distinct periods: the Observation Period, between April 26 and 29, 2024 and the Identification Period, between April 30 and May 5, 2024.

Like last year, Canada is poised to make a significant contribution to the City Nature Challenge 2024, with cities from coast to coast preparing to showcase the incredible natural diversity across Canada. From the rugged shores of British Columbia to the lush forests of Ontario, and the vibrant ecosystems of Quebec to the serene landscapes of the Maritimes, Canadians are eager to step outdoors and connect with the biodiversity that surrounds them.

What is the City Nature Challenge?




At its core, the City Nature Challenge is a friendly competition that encourages people to observe and record the plants, animals, fungi and other organisms they encounter in their everyday lives, using the free iNaturalist app. By harnessing the power of citizen science, the City Nature Challenge not only generates valuable data for researchers but also fosters a deeper appreciation and understanding of the natural world among participants.

In Canada, where the abundance of natural beauty is matched only by the diversity of its inhabitants, the City Nature Challenge serves as a tool for tracking biodiversity across the country. With ecosystems facing increasing pressures from climate change, habitat loss and pollution, it is more important than ever to understand and monitor biodiversity trends.

By participating in the City Nature Challenge, Canadians can contribute to ongoing research efforts aimed at conserving and protecting the nation’s natural heritage. Whether it’s identifying rare species, mapping invasive plants, or documenting seasonal migrations, every observation made during the City Nature Challenge provides valuable insights into the health and resilience of Canada’s ecosystems.

The City Nature Challenge is about more than just data collection; it’s about fostering a sense of stewardship and connection to the natural world. By engaging people of all ages and backgrounds in hands-on scientific exploration, the City Nature Challenge empowers individuals to become active participants in the conservation of their local environments.

In 2024, as Canada gears up for the City Nature Challenge, let’s embrace the opportunity to celebrate the rich tapestry of life that surrounds us. Whether you’re a seasoned naturalist or a curious beginner, there’s a place for you in the City Nature Challenge. So, grab your binoculars, lace up your hiking boots, open up your iNaturalist app, and join us as we embark on a journey to discover the wonders of Canada’s urban wilderness. All observations recorded using iNaturalist in participating cities automatically count towards the tally. Last year we collectively gathered nearly 75,000 observations. Let’s see what we can do in 2024!

Together, let’s show the world that when it comes to biodiversity, Canada is not just a vast wilderness; it’s also a thriving mosaic of life waiting to be explored. Join us for the City Nature Challenge 2024 and help us track biodiversity across Canada, one observation at a time.

Learn more at CityNatureChallenge.ca. Find out which cities are taking part by visiting the City Nature Challenge Canada iNaturalist project.

Préparez-vous pour le Défi nature urbaine 2024!

Par Acacia Frempong-Manso


À l’approche du printemps, les amoureux de la nature, les scientifiques et les esprits curieux se préparent pour un événement exaltant : le Défi nature urbaine 2024.

Cet événement mondial annuel, né d’une collaboration entre le Natural History Museum du comté de Los Angeles et la California Academy of Sciences, est devenu un élément phare de science citoyenne, qui rassemble des communautés du monde entier autour d’une mission commune : explorer et documenter la biodiversité dans les environnements urbains.

Le Défi nature urbaine 2024 se déroule sur deux périodes : la période d’observation (du 26 au 29 avril) et la période d’identification (du 30 avril au 5 mai).

Comme l’année dernière, le Canada va apporter une contribution significative au Défi nature urbaine 2024, alors que des villes d’un océan à l’autre s’apprêtent à mettre en valeur leur incroyable diversité naturelle. Des côtes accidentées de la Colombie-Britannique aux forêts luxuriantes de l’Ontario, en passant par les écosystèmes dynamiques du Québec et les paysages sereins des provinces de l’Atlantique, les Canadiens sont impatients de se rendre à l’extérieur et de se rapprocher de la biodiversité qui les entoure.

Qu’est-ce que le Défi nature urbaine?



À la base, le Défi nature urbaine est une compétition amicale qui encourage les gens à observer et à consigner les plantes, les animaux, les champignons et autres organismes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en utilisant l’application iNaturalist gratuite. En tirant parti du pouvoir de la science citoyenne, le Défi nature urbaine génère non seulement des données précieuses pour les chercheurs, mais encourage également les participants à apprécier et à comprendre plus profondément le monde naturel qui les entoure.

Au Canada, où l’abondance de la beauté naturelle n’est égalée que par la diversité de ses habitants, le Défi nature urbaine est un outil qui permet d’effectuer le suivi de la biodiversité à l’échelle du pays. Alors que les écosystèmes sont de plus en plus soumis aux pressions liées au changement climatique, à la perte des habitats et à la pollution, il est plus important que jamais de comprendre et de surveiller les tendances de la biodiversité.

En participant au Défi nature urbaine, les Canadiens peuvent contribuer aux efforts de recherche en cours qui visent à conserver et à protéger le patrimoine naturel de leur pays. Qu’il s’agisse d’identifier des espèces rares, de cartographier des plantes envahissantes ou de documenter des migrations saisonnières, chaque observation effectuée dans le cadre du Défi nature urbaine fournit des informations précieuses sur la santé et la résilience des écosystèmes du Canada.

Le Défi nature urbaine va bien au-delà de la simple collecte de données : il s’agit d’encourager le rapprochement avec la nature et le devoir d’intendance envers celle-ci. Grâce à la participation de personnes de tous âges et de tous horizons dans cette activité d’exploration scientifique pratique, le Défi nature urbaine permet à tout un chacun de jouer un rôle actif dans la conservation de l’environnement local.

Profitons de l’occasion du Défi nature urbaine 2024 au Canada pour célébrer la richesse de la mosaïque de vie qui nous entoure. Que vous soyez un naturaliste expérimenté ou un débutant animé de curiosité, vous avez votre place dans le Défi nature urbaine. Alors, munissez-vous de vos jumelles, chaussez vos bottes de randonnée, ouvrez votre application iNaturalist et participez à ce voyage de découverte des merveilles de la nature sauvage urbaine au Canada. Toutes les observations consignées à l’aide d’iNaturalist dans les villes participantes sont automatiquement prises en compte. L’année dernière, nous avons ainsi consigné collectivement près de 75 000 observations. Voyons ce que nous pouvons accomplir en 2024!

Ensemble, montrons au monde qu’en matière de biodiversité, le Canada n’est pas qu’un vaste territoire sauvage, mais aussi une mosaïque de vie florissante qui ne demande qu’à être explorée. Joignez-vous à nous dans le cadre du Défi nature urbaine 2024 et aidez-nous à effectuer le suivi de la biodiversité partout au Canada, une observation à la fois.

Apprenez-en plus sur DéfiNatureUrbaine.ca. Découvrez la liste des villes participantes en vous rendant sur la page du projet iNaturalist Défi nature urbaine Canada.

Posted on April 23, 2024 02:08 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 0 comments | Leave a comment

January 10, 2024

Reflecting on a Year of Nature: iNaturalist Canada's 2023 Review




By Acacia Frempong-Manso



As we welcome a new year, it's time to pause and celebrate the astounding strides made in understanding and appreciating Canada's natural world through iNaturalist Canada.

In 2023, this platform has been nothing short of a bustling hive of discovery, learning, and collective action for nature enthusiasts across the country. Let's take a deep dive into the numbers and accomplishments that defined iNaturalist Canada's journey this past year.

A staggering 3,031,128 observations were made here in Canada! Of those observations 634,217 were made by the Canadian Wildlife Federation’s Observation Nation members. Serving as a testament to the passion and dedication of our vibrant community. From the lush forests of British Columbia to the coastal wonders of Nova Scotia, every region contributed to this grand collection of sightings.

Diving into the heart of biodiversity, a total of 25,848 species were documented, unraveling the intricate web of life that thrives across Canada's diverse landscapes. This rich tapestry of flora and fauna showcased the sheer beauty and complexity of our natural heritage.

None of this would have been possible without the incredible support of the iNaturalist community of 87,548 individuals who passionately engaged with iNaturalist Canada. Your enthusiasm, curiosity, and commitment have been the driving force behind this monumental success. To each and every contributor, whether you're a seasoned naturalist or someone just beginning to explore the wonders of nature, your invaluable contributions have elevated iNaturalist Canada to new heights. Your meticulous observations, detailed identifications, and unwavering support have not only enriched this platform but also contributed significantly to conservation science.

All of the observations made on iNaturalist Canada contribute to conservation efforts here in Canada. One example includes iNaturalist data being used by NatureServe Canada for the Ecosystem-based automated range maps (EBAR) and the designation of Key Biodiversity Areas. This is an initiative to designate and protect areas that are critical for wildlife and nature – areas that support rare and threatened species, ecosystems and key natural processes.

Before jumping into the New Year, check out some of the noteworthy discoveries that took place in 2023 across Canada:

As we stand in a new year, let's continue this journey of exploration and conservation together. This year, why not set a personal resolution or goal? Whether that’s focusing on getting observations of a species at risk or reaching a specific number of observations, the possibilities are endless! Your involvement, passion, and curiosity is the heart of iNaturalist Canada, and we're excited to see what new discoveries and milestones await us in the coming year.

To relive the highlights and explore the community's favorite observations, be sure to check out the iNaturalist Canada Year in Review. Take a moment to celebrate your own personal journey through your yearly stats—an ode to your commitment to nature.

Thank you for being an integral part of iNaturalist Canada's success in 2023. Together, let's continue to explore, learn, and conserve the breathtaking beauty that surrounds us. Here's to a new year filled with endless discoveries and conservation triumphs!

Happy New Year!

Réflexion sur une année de nature : rétrospective de l’année 2023 de la plateforme iNaturalist Canada

Par Acacia Frempong-Manso



En ce début d’année, il est temps de prendre un moment pour souligner les progrès stupéfiants réalisés dans la compréhension et la connaissance du monde naturel du Canada grâce à iNaturalist. En 2023, cette plateforme est devenue une véritable ruche de découvertes, d’apprentissages et d’actions collectives pour les passionnés de nature de tout le pays. Prenons un instant pour examiner en profondeur les chiffres et les réalisations qui ont défini le parcours d’iNaturalist Canada au cours de l’année écoulée.

Un nombre impressionnant de 2 934 158 observations ont été enregistrées au Canada! Parmi ces observations, 617 067 ont été effectuées à la mi-décembre par les membres du projet « BioObservateurs » de la Fédération canadienne de la faune. Ces chiffres témoignent de la passion et du dévouement de notre communauté dynamique. Des forêts luxuriantes de la Colombie-Britannique aux merveilles côtières de la Nouvelle-Écosse, chaque région a contribué à cette grande collection d’observations.

En plongeant au cœur de la biodiversité, un total de 25 848 espèces ont été documentées, dévoilant le réseau complexe de la vie qui prospère dans les divers paysages du Canada. Cette riche mosaïque de flores et de faunes a mis en évidence la beauté et la complexité de notre patrimoine naturel.

Rien de tout cela n’aurait été possible sans le soutien incroyable de 87 548 personnes qui se sont engagées avec passion sur la plateforme iNaturalist Canada. Votre enthousiasme, votre curiosité et votre engagement ont été le principal moteur de cette réussite monumentale. À chacun des contributeurs : que vous soyez un naturaliste chevronné ou que vous commenciez tout juste à explorer les merveilles de la nature, vos contributions inestimables ont permis à iNaturalist Canada d’atteindre de nouveaux sommets. En plus d’enrichir cette plateforme, vos observations méticuleuses, vos identifications détaillées et votre soutien indéfectible ont également contribué de manière significative à la science de la conservation.

Toutes les observations enregistrées sur iNaturalist contribuent aux efforts de conservation déployés ici, au Canada. Par exemple, les données enregistrées sur iNaturalist sont utilisées par NatureServe Canada dans l’élaboration des cartes automatisées des aires de répartition basées sur les écosystèmes (Ecosystem-based Automated Range [EBAR] Mapping) et la désignation des zones clés pour la biodiversité. Il s’agit d’une initiative visant à désigner et à protéger des zones essentielles pour la faune et la flore sauvages, c’est-à-dire des zones qui abritent des espèces rares et menacées, des écosystèmes et des processus naturels essentiels : https://kbacanada.org/fr/.

Mais avant d’entamer cette nouvelle année, découvrez quelques-unes des découvertes remarquables qui ont eu lieu en 2023 au Canada :

• Le projet « Espèces en péril » suit les espèces qui ont été considérées par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) comme étant en voie d’extinction. Cette année, 53 749 observations ont été enregistrées dans le cadre du projet. Parmi celles-ci, 96 % sont d’une qualité suffisante pour être utilisées aux fins de recherche.
• Un article publié par la FCF sur la base d’observations de tortues géographiques démontre que la menace de la circulation maritime est largement répandue dans l’aire de répartition de l’espèce au Canada.
• Une couleuvre obscure de couleur beige, morphologie rare chez cette espèce en voie de disparition, a été observée en Ontario.
• Une nouvelle observation de couleuvre nocturne du désert, une espèce en voie de disparition, a été enregistrée en Colombie-Britannique. Britannique. Seulement deux observations ont été enregistrées pour cette espèce extrêmement fugace au Canada, ses membres étant confrontés aux pressions du développement dans la vallée de l’Okanagan, en Colombie-Britannique.
• Les premières apparitions du fulgore tacheté au Canada, ont été signalées (quatre en 2023 et une fin 2022). Il s’agit d’un ravageur très envahissant que l’Agence canadienne d’inspection des aliments s’efforce maintenant de combattre dans ces lieux.

À l’aube d’une nouvelle année, poursuivons ensemble ce voyage d’exploration et de conservation. Cette année, pourquoi ne pas prendre une résolution ou se fixer un objectif personnel? Qu’il s’agisse de se concentrer sur l’observation d’une espèce en danger ou d’atteindre un nombre précis d’observations, les possibilités sont infinies! Votre participation, votre passion et votre curiosité sont au cœur de la plateforme iNaturalist Canada, et il nous tarde de voir quelles nouvelles découvertes et quels nouveaux jalons nous attendent au cours de l’année à venir.

Pour revivre les faits saillants et examiner les observations préférées de la communauté, ne manquez pas de consulter la rétrospective de l’année d’iNaturalist Canada. Prenez le temps de célébrer votre parcours personnel grâce à vos statistiques annuelles; une ode à votre engagement en faveur de la nature.

Merci de faire partie intégrante de la réussite d’iNaturalist Canada en 2023. Ensemble, continuons à explorer, à découvrir et à conserver la beauté stupéfiante qui nous entoure. Nous vous souhaitons une nouvelle année pleine de découvertes et de victoires en matière de conservation!

Bonne année!

Posted on January 10, 2024 08:50 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 0 comments | Leave a comment

October 25, 2023

Celebrating the Conservation Champions of Halloween




By Acacia Frempong-Manso




bats and pumpkins



As autumn paints the landscape with vibrant hues and the days grow shorter, Halloween approaches, ushering in a season of mystery and intrigue.

It's a time when we embrace the eerie, the enigmatic, and the creatures that have long captivated our imaginations. However, this year, we invite you to look beyond the spooky stereotypes and delve into the true marvels of Canada's Halloween creatures.

In this blog post, we embark on a journey to uncover the often-overlooked ecological significance of three remarkable beings: bats, spiders, and ravens. These creatures may be associated with myths, superstitions, and folklore, but they are also unsung heroes of our natural world. Together, we'll explore the vital roles they play in the delicate tapestry of Canadian ecosystems and why it’s crucial to conserve these species and important to document them on iNaturalist.

So, put aside the Halloween horror stories for a moment and join us as we celebrate the beauty, importance, and unique contributions of these misunderstood animals to the Canadian wilderness. It's time to unveil the ecological wonders that lurk beneath the shadows of our collective imagination.


Bats: Silent Guardians of the Night





Bats have long been associated with the supernatural and the macabre. Their nocturnal habits, eerie flight patterns, and association with vampires in folklore have contributed to their spooky reputation. However, the truth about bats is far from the sinister image often portrayed in movies and Halloween decorations.

In Canada, there are 19 species of bats, and they are an essential part of our ecosystem. Bats play a crucial role in controlling insect populations, including pests that harm crops and spread diseases. They are silent, efficient hunters, using echolocation to locate their prey. Contrary to the myths, bats are not interested in human blood; all of our Canadian bat’s feed exclusively on insects and in other countries, most of them eat insects, fruit, or nectar.

Bats are facing numerous threats, including habitat loss, wind energy turbines, pesticides, eviction from roosting sites, and a fungal disease called White-Nose Syndrome. At the Canadian Wildlife Federation (CWF) our work focuses on addressing threats beyond Whit Nose Syndrome and how this will help conserve the bats that do survive the disease. For more information, visit HelpTheBats.ca.


Spiders: Nature's Web Weavers



spider web



Spiders are perhaps one of the most misunderstood and maligned creatures in the animal kingdom. Their eight legs, venomous fangs, and penchant for weaving intricate webs have led to many arachnophobic myths and fears. However, the majority of spiders in Canada are harmless to humans and actually provide invaluable services to our ecosystems.

Canada is home to over 800 species of spiders, and while a few possess venom potent enough to harm humans, they rarely pose a threat. Spiders are unsung heroes in the world of pest control. They are voracious predators, and their primary diet consists of insects. By preying on a wide variety of insects, including flies, mosquitoes, and agricultural pests, spiders help maintain ecological balance. This natural pest control service reduces the need for chemical pesticides that can harm other non-target species and have detrimental effects on the environment.

If you need help getting that perfect shot for identification, check out the Canadian Wildlife Federation’s (CWF) guide on how to take identifiable photos of Arachnids.


Ravens: The Wise Watchers of the Wilderness





Ravens have long been associated with omens and superstitions, often depicted as messengers of doom in folklore and horror stories. These highly intelligent birds are vital members of Canada's wildlife community.
Ravens are not merely scavengers; they are true ecosystem engineers. Their role in the wild is akin to nature's clean-up crew. They have a remarkable ability to detect carrion, such as the remains of animals that have perished in the wilderness. By consuming and removing carcasses, ravens help prevent the spread of disease within their ecosystems. This scavenging behavior serves as a natural sanitation service, reducing the risk of pathogens affecting other wildlife and even humans.

Additionally, ravens are known to cache food, burying surplus food items underground to consume later. Some of these caches go uneaten and grow into trees or shrubs, unintentionally planting the seeds of various plant species. This process contributes to the dispersion of seeds across the landscape, promoting plant diversity and regeneration.

If you need help getting that perfect shot for identification, check out the Canadian Wildlife Federation’s (CWF) guide on how to take identifiable photos of birds.


The Importance of Uploading Observations



photo



Your observations matter! More and more research projects are incorporating iNaturalist data into their work and demonstrating how contributions are informing research and conservation. The first record of a new species of Cellar spider in Canada was published from iNaturalist observations. Researchers in North Carolina used iNaturalist to assess the effectiveness of mitigation for bird window collisions are just a few examples of your observations contributing to research and conservation efforts.

So, this Halloween season, instead of fearing these creatures, embrace the opportunity to learn more about them and contribute to their protection. Together, we can celebrate these misunderstood animals and the critical roles they play in our environment.

Happy Halloween!

Célébrons les champions de la conservation à l’occasion de l’Halloween

Par Acacia Frempong-Manso



bats and pumpkins


Alors que l'automne peint le paysage de teintes vibrantes et que les jours raccourcissent, l’Halloween approche, inaugurant une saison de mystères et d'intrigues.

Alors que l'automne peint le paysage de teintes vibrantes et que les jours raccourcissent, l’Halloween approche, inaugurant une saison de mystères et d'intrigues. C'est une période où nous accueillons l'étrange, l'énigmatique et les créatures qui ont longtemps captivé notre imagination. Cependant, cette année, nous vous invitons à regarder au-delà des stéréotypes effrayants et à vous plonger dans les véritables merveilles des créatures canadiennes associées à l'Halloween.

Dans ce blogue, nous entreprendrons un voyage pour découvrir la signification écologique souvent oubliée de trois êtres remarquables : les chauves-souris, les araignées et les corbeaux. Ces créatures peuvent être associées à des mythes, des superstitions et du folklore, mais elles sont aussi des héros méconnus de notre monde naturel. Ensemble, nous examinerons les rôles vitaux qu'ils jouent dans la délicate tapisserie des écosystèmes canadiens et nous verrons pourquoi il est important de conserver ces espèces et de consigner où nous les observons dans iNaturalist.

Alors, mettez de côté les histoires d'horreur de l’Halloween pour un moment et joignez-vous à nous pour souligner la beauté, l'importance, mais aussi les contributions uniques de ces animaux mal compris à la nature canadienne. Il est temps de dévoiler les merveilles écologiques qui se cachent dans l'ombre de notre imagination collective.

Les chauves-souris : gardiennes silencieuses de la nuit


Les chauves-souris sont depuis longtemps associées au surnaturel et au macabre. Leurs habitudes nocturnes, leurs étranges schèmes de vol et leur association folklorique aux vampires ont contribué à leur réputation effrayante. Cependant, la vérité sur les chauves-souris est loin de l'image sinistre souvent dépeinte dans les films et les décorations d'Halloween.
Le Canada compte 19 espèces de chauves-souris qui sont essentielles à notre écosystème. Les chauves-souris jouent un rôle important dans le contrôle des populations d'insectes, y compris des insectes nuisibles qui ravagent les cultures et propagent des maladies. Ce sont des chasseuses silencieuses et efficaces qui utilisent l'écholocalisation pour localiser leurs proies. Contrairement aux mythes, le sang humain n’intéresse pas les chauves-souris; toutes nos chauves-souris canadiennes se nourrissent exclusivement d'insectes et, dans d'autres pays, la plupart d'entre elles se nourrissent d'insectes, de fruits ou de nectar.
Les chauves-souris sont confrontées à de nombreuses menaces, dont la perte d'habitat, les éoliennes, les pesticides, l'expulsion des sites de repos et une maladie fongique appelée syndrome du museau blanc. À la Fédération canadienne de la faune (FCF), notre travail se concentre sur les menaces qui vont au-delà du syndrome du museau blanc et sur les façons de conserver les chauves-souris qui survivent à la maladie. Pour plus d'information, consultez le site
AidonsLesChauves-Souris.ca.

Les araignées : tisserandes de la nature


spider web


Les araignées sont peut-être l'une des créatures les plus mal comprises et les moins aimées du règne animal. Leurs huit pattes, leurs crocs venimeux et leur inclination à tisser des toiles complexes ont donné naissance à de nombreux mythes et peurs arachnophobes. Cependant, la majorité des araignées du Canada sont inoffensives pour les humains et rendent des services inestimables à nos écosystèmes.

Le Canada abrite plus de 800 espèces d'araignées et, bien que certaines d'entre elles possèdent un venin suffisamment puissant pour causer du mal aux humains, elles constituent rarement une menace. Les araignées sont des héros méconnus du monde de la lutte antiparasitaire. Ce sont des prédateurs voraces, dont le régime alimentaire est principalement constitué d'insectes. En se nourrissant d'une grande variété d'insectes, y compris de mouches, de moustiques et de parasites agricoles, les araignées contribuent au maintien de l'équilibre écologique. Ce service naturel de lutte contre les insectes nuisibles réduit le besoin de pesticides chimiques qui peuvent nuire à d'autres espèces non ciblées et avoir des effets néfastes sur l'environnement.

Si vous avez besoin d'aide pour obtenir la photo parfaite à des fins d'identification, consultez le guide de la Fédération canadienne de la faune (FCF) sur la façon de prendre des photos identifiables d'arachnides.

Les corbeaux : sages gardiens du monde naturel


Les corbeaux sont depuis longtemps associés aux mauvais présages et aux superstitions, et sont souvent représentés comme des messagers du malheur dans le folklore et les histoires d'horreur. Ces oiseaux très intelligents sont des membres essentiels de la communauté des animaux sauvages du Canada.
Les corbeaux ne sont pas de simples charognards, ce sont de véritables ingénieurs d’écosystèmes. Leur rôle dans la nature s'apparente à celui d'une équipe de nettoyage. Ils ont une capacité remarquable à détecter les charognes, c'est-à-dire les restes d'animaux qui ont péri dans la nature. En consommant et en éliminant les carcasses, les corbeaux contribuent à prévenir la propagation de maladies dans les écosystèmes. Ce comportement de charognard sert de service sanitaire naturel, réduisant le risque que des agents pathogènes affectent d'autres animaux sauvages et même les êtres humains.

En outre, les corbeaux sont connus pour cacher de la nourriture en enterrant les excédents sous terre pour les consommer plus tard. Certaines de ces caches ne sont pas consommées et deviennent des arbres ou des arbustes, plantant involontairement les graines de diverses espèces végétales. Ce processus contribue à la dispersion des graines dans la nature, favorisant ainsi la diversité et la régénération des plantes.

Si vous avez besoin d'aide pour obtenir la photo parfaite à des fins d'identification, consultez le guide de la Fédération canadienne de la faune (FCF) sur la façon de prendre des photos identifiables d'oiseaux.

Importance de télécharger vos observations


photo


Vos observations sont importantes! De plus en plus de projets de recherche intègrent les données d’iNaturalist dans leurs travaux et démontrent comment les contributions orientent les recherches et les mesures de conservation. Le premier enregistrement d'une nouvelle espèce de pholcide au Canada a été publié à partir d’observations d'iNaturalist. Des chercheurs de la Caroline du Nord ont utilisé iNaturalist pour évaluer l'efficacité de mesures d'atténuation des collisions d’oiseaux dans des fenêtres. Ce ne sont là que quelques exemples de la contribution de vos observations aux efforts de recherche et de conservation.

Alors, en cette période d'Halloween, au lieu de craindre ces créatures, saisissez l'occasion d'en apprendre davantage sur elles et de contribuer à leur protection. Ensemble, nous pouvons mettre en valeur ces animaux incompris et les rôles essentiels qu'ils jouent dans notre environnement.

Joyeuse Halloween!

Posted on October 25, 2023 04:00 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 0 comments | Leave a comment

September 21, 2023

Shell yeah, we have more than 60,000 uploaded observations on iNaturalist Canada!


By David Seburn

Blanding's Turtle by William Dulac


One of the animal species with the greatest threat to extinction in Canada is the freshwater turtle.

The greatest dangers to Canada's freshwater turtles are:

• Road mortality
• Habitat loss
• Nest predation
• Poaching for the pet trade


map of turtle observations
Map of observations on iNaturalist.ca ©iNaturalist.ca

Currently, the federal government has listed all eight species of freshwater turtles as threatened. With your assistance, the Help The Turtles program of the Canadian Wildlife Federation (CWF) hopes to change this. You can assist the CWF team in identifying which roads require mitigating measures and which wetlands require attention by joining the Help The Turtles initiative on iNaturalist. A significant milestone of 60,000 turtle observations was reached by the project in June of this year. Exactly 12,902 individuals throughout the nation—from British Columbia to Nova Scotia and all the provinces in between—contributed to make this possible. So, what have we learned from these observations?

Painting the Way


painted turtle
Painted Turtle. The most commonly reported species of turtle on iNaturalist, making up roughly half of all turtle observations. Photo from iNaturalist: Sonya Mann (CC-BY-NC)

Almost half of the observations are of Painted Turtles. This result isn’t completely surprising as it is also the most widespread turtle species in Canada, found from the west coast to the east coast. It does underscore how widespread and common the Painted Turtle is even in many urban areas. It was also good to see 5000 observations of the Blanding’s Turtle, as species that is now Endangered in Canada. Although this species is declining, it remains widespread.


Leatherback Sea Turtle observed near Nova Scotia. Photo from iNaturliast: Allan MacMillan (CC-BY-NC)
Leatherback Sea Turtle observed near Nova Scotia. Photo from iNaturliast: Allan MacMillan (CC-BY-NC)

There were also observations of three different species of sea turtles in Canada. Did you know that sea turtles sometimes swim up to Canadian waters on either the east or west coast?

Another surprising result is that over 80 per cent of turtle observations are from Ontario. While Ontario has the most iNaturalist users of any province, and the highest number of species of turtles, it is still impressive how one province dominates the turtle observations.


sliders
Pond sliders

One disappointing result is that the Pond Slider, an exotic species in Canada, is the fifth-most common turtle species reported on iNaturalist. We have eight native species of freshwater turtles in Canada, so the Slider is more commonly reported than four of our native turtle species. One reason for this is that Sliders occur in many urban areas where they are apt to be observed and reported. They are also widespread with reports from British Columbia to Nova Scotia.

Unfortunately, the Slider is not the only exotic turtle found in Canada. More than a dozen exotic turtle species have been reported on iNaturalist. Most of these have very few observations and some of those may be pets photographed in someone’s backyard. Other species are definitely being purchased as pets and then released into the wild when no longer wanted. For example, there are 20 observations of False Map Turtle on iNaturalist, from British Columbia, Ontario and Quebec. Released pets can pose a number of potential risks, including the spread of diseases that could be lethal to other species. Never release unwanted pet turtles into the wild.

These turtle observations are also contributing to turtle conservation. The CWF turtle team recently used iNaturalist observations of the Red-eared Slider (a subspecies of the Pond Slider), a turtle known to be aggressive to other turtles, to see if they will share basking sites with native species of turtles. We also used iNaturalist observations of Northern Map Turtles to assess the injury rate from boat propellers.

Keep those observations coming!

Plus de 60 000 observations de tortues!

Par David Seburn

Blanding's Turtle

Eh oui, nous avons enregistré plus de 60 000 observations de tortues sur iNaturalist Canada!

iNaturalist Canada est une plateforme scientifique communautaire puissante qui permet à la population canadienne d’enregistrer les espèces indigènes et exotiques qu’elle observe. Il est important de connaître les espèces présentes dans les différentes régions du pays pour les protéger, ainsi que leurs habitats.

La Fédération canadienne de la faune a créé un projet intitulé « Aidons les tortues » pour rassembler toutes les observations de tortues au Canada sur iNaturalist. Et le public a répondu. En juin de cette année, le projet a franchi un cap important : l’enregistrement de 60 000 observations de tortues!


map of turtle observations

Carte des observations sur iNaturalist.ca © iNaturalist.ca


Plus de 11 000 personnes ont fourni des observations de tortues au Canada, de la Colombie-Britannique à la Nouvelle-Écosse, en passant par toutes les provinces. Que pouvons-nous apprendre de ces observations?

Peindre l’avenir

Tortue peinte. Il s’agit de l’espèce de tortue la plus fréquemment signalée sur iNaturalist, représentant environ la moitié de toutes les observations de tortues. Photo tirée de iNaturalist : Sonya Mann (CC-BY-NC)
Près de la moitié des observations concernent les tortues peintes. Ce résultat n’est pas tout à fait surprenant, puisqu’il s’agit également de l’espèce de tortue la plus répandue au Canada, que l’on trouve de la côte ouest à la côte est. Cette situation souligne à quel point la tortue peinte est répandue et commune, même dans de nombreuses zones urbaines. Il était également rassurant de compter 5 000 observations de la tortue mouchetée, une espèce désormais en voie de disparition au Canada. Bien que cette espèce soit en déclin, elle demeure largement répandue.


Leatherback Sea Turtle observed near Nova Scotia. Photo from iNaturliast: Allan MacMillan (CC-BY-NC)
Tortue luth observée près de la Nouvelle-Écosse. Photo tirée de iNaturalist : Allan MacMillan (CC-BY-NC)

Trois espèces différentes de tortues marines ont également été observées au Canada. Saviez-vous que les tortues de mer nagent parfois jusqu’aux eaux canadiennes, que ce soit sur la côte est ou sur la côte ouest?

La tortue mouchetée, une espèce en voie de disparition. Plus de 5 000 observations de cette espèce ont été enregistrées sur iNaturalist à ce jour. Photo tirée de iNaturalist : William Dulac (CC-BY-NC)
Un autre résultat surprenant réside dans le fait que plus de 80 % des observations de tortues proviennent de l’Ontario. Bien que la province soit celle qui compte le plus grand nombre d’utilisateurs de iNaturalist et le plus grand nombre d’espèces de tortues, il est tout de même impressionnant de constater la place qu’elle occupe sur le plan des observations de tortues.

Le fait que la tortue de Floride, une espèce exotique au Canada, soit la cinquième espèce de tortue la plus couramment observée sur iNaturalist, constitue un résultat décevant. En effet, le Canada compte huit espèces indigènes de tortues d’eau douce, ce qui signifie que la tortue de Floride a été plus souvent observée que quatre de nos espèces de tortues indigènes. Cette situation s’explique notamment par le fait que la tortue de Floride est présente dans de nombreuses zones urbaines où elle est susceptible d’être observée. Elle est également très répandue, comme en témoignent les observations enregistrées de la Colombie-Britannique à la Nouvelle-Écosse.


sliders
Pond sliders

Malheureusement, la tortue de Floride n’est pas la seule tortue exotique que l’on trouve au Canada. Plus d’une douzaine d’espèces de tortues exotiques ont été signalées sur iNaturalist. La plupart d’entre elles ne comportent que très peu d’observations, et certaines peuvent être des animaux de compagnie photographiés dans le jardin de quelqu’un. D’autres espèces sont certainement achetées comme animaux de compagnie, puis relâchées dans la nature lorsqu’elles ne sont plus désirées. Par exemple, la tortue pseudogéographique compte sur iNaturalist 20 observations provenant de la Colombie-Britannique, de l’Ontario et du Québec. Les animaux domestiques relâchés peuvent présenter un certain nombre de risques, notamment la propagation de maladies pouvant être mortelles pour d’autres espèces. Ne relâchez jamais dans la nature des tortues de compagnie non désirées.

Ces observations de tortues contribuent également à leur conservation. L’équipe de la FCF consacrée à la conservation des tortues a récemment utilisé les observations de la tortue à oreilles rouges enregistrées sur iNaturalist (une sous-espèce de la tortue de Floride), laquelle est connue pour être agressive envers les autres tortues, afin de voir si elle partage les sites de repos avec les espèces de tortues indigènes. Nous avons également utilisé les observations des tortues ponctuées pour évaluer le taux de blessures causées par les hélices des bateaux.

Si vous n’avez pas rejoint la communauté de la plateforme iNaturalist, n’hésitez pas à le faire. Et si vous l’avez rejointe, continuez à nous faire part de vos observations!

Posted on September 21, 2023 07:07 PM by cwf_tobi cwf_tobi | 0 comments | Leave a comment